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Corpographie

À travers des expériences et explorations corporelles, ce moment collectif tentait d’appréhender les questions du rapport à l’espace public. En traversant des espaces que l’on connait, cette ville que l’on habite, il s’agissait de laisser les participants redécouvrir par les sons, les couleurs, les odeurs afin d’offrir un nouveau regard sur ces espaces traversés quotidiennement.

Comment est-ce que je marche sur le pont Jacques Gabriel, comment est-ce que je m’assois en bord de Loire, qu’est-ce que mes habitudes me disent de ces espaces ?

Cette invitation à observer à l’échelle de l’humain a été envisagée comme un outil de cartographie, replaçant le sensible au coeur du tracé. 

Ces traversées seront aussi l’occasion de réfléchir aux méthodes de représentations
cartographiques : questionner le point de vue surplombant des cartes, ainsi que la place du Nord géographique vers le haut par exemple.

Ce week-end exploratoire a permis de soulever plusieurs de ces questionnements :

- Comment est-ce que mon corps habite ces espaces et comment est-ce que cela peut m’aider à les comprendre et les appréhender ?
- Comment cartographier cette ville ? Et depuis quelles perspectives ?
- Pourrions-nous plutôt envisager la cartographie comme une pratique corporelle répondant au besoin de chacun·e ?


Ce temps de parcours de la ville ont été organisé en collaboration avec deux artistes bruxellois : Florian et Neptune

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Corpo

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Comment est-ce que je marche

sur le pont Jacques Gabriel, comment

est-ce que je m’assois en bord de Loire, qu’est-ce que mes habitudes me disent de ces espaces ?

À travers des expériences et explorations corporelles, ce moment collectif tentait d’appréhender les questions du rapport à l’espace public. En traversant des espaces que l’on connait, cette ville que l’on habite, il s’agissait de laisser les participants redécouvrir par les sons, les couleurs, les odeurs afin d’offrir un nouveau regard sur ces espaces traversés quotidiennement.

 

 

Cette invitation à observer à l’échelle de l’humain a été envisagée comme un outil de cartographie, replaçant le sensible au coeur du tracé. 

Ces traversées seront aussi l’occasion de réfléchir aux méthodes de représentations cartographiques : questionner le point de vue surplombant des cartes, ainsi que la place du Nord géographique vers le haut par exemple.

 

 

 

Ce week-end exploratoire a permis de soulever plusieurs de ces questionnements :

- Comment est-ce que mon corps habite ces espaces et comment est-ce que cela peut m’aider à les comprendre et les appréhender ?
- Comment cartographier cette ville ? Et depuis quelles perspectives ?
- Pourrions-nous plutôt envisager la cartographie comme une pratique corporelle répondant au besoin de chacun·e ?


 

 

 

Cet atelier et ce temps de parcours de la ville ont été organisé en collaboration avec deux artistes bruxellois : Florian et Neptune.

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